Enfant prodige, Lydie Solomon joue au piano à l’âge de deux ans d’oreille la mélodie de « L’Hymne à la joie » de Beethoven. A cinq ans, elle entre à l’Ecole Normale de Musique de Paris-Alfred Cortot. Jusqu’à l’âge de dix-huit ans, elle suit la filière «classique» avec précocité et brio, avec un 1er Prix « Mention Très Bien » au CNSMDP dans la classe de Jacques Rouvier.
Entre 2008 et 2010, Lydie (Waï) se tourne vers le jazz, compose des chansons, et enregistre un disque (« Harmonie »). Elle se produit en concert comme chanteuse.
Elle revient au piano avec le récital « Eldorado : de Padre Soler à Piazzolla » à la salle Gaveau, puis « De Chopin à Cuba », qui donnent lieu à des concerts dans le monde entier : Abou Dabi, Mexico, Varsovie, Bruxelles, Majorque…
Après « Eldorado » (2011) et « De Chopin à Cuba » (2014), Lydie sort un troisième album de piano classique début 2017, « Euromantique ».
Elle ajoute une corde à son art en s’asseyant de nouveau à la console de l’orgue de Castelnau-Magnoac qui l’a envoûtée lors de son concert il y a un an exactement.