Enfant prodige, Lydie Solomon suite jusqu’à l’âge de dix-huit ans, la filière «classique» avec précocité et brio .
Entre 2008 et 2010, Lydie (Waï) compose et interprète des chansons, enregistre un disque (« Harmonie ») avec une rythmique de jazz américaine, argentine et brésilienne qui reçoit une bonne critique. Elle se produit par ailleurs en concert comme chanteuse.
Elle revient au piano avec le récital « Eldorado » consacré au Padre Soler puis « De Chopin à Cuba » qui donnent lieu à des concerts dans le monde entier : Abu Dabi, Mexico, Varsovie, Bruxelles et récemment Majorque.
Elle ajoute aujourd’hui une corde à son art en s’asseyant à la console de l’orgue de Castelnau-Magnoac dont elle a apprécié les sonorités.